Journal Beta de Straining Coasters sur Android (et PC si vous êtes motivés)

Posté par  (site web personnel) . Licence CC By‑SA.
Étiquettes : aucune
22
20
oct.
2016

Bonjour 'nal,

Il y a presque 5 ans j'ai participé à une game jam de developpez.com de laquelle était sorti un petit jeu nommé Roller Painting. J'en avais d'ailleurs parlé sur LinuxFR à l'époque.

Nous avions par la suite étendu le concept dans un petit jeu PC et j'ai ensuite repris ce jeu pour en faire une version mobile. Aujourd'hui je relance la version mobile en mieux, sous le nom Straining Coasters. Par rapport à la version précédente elle a été complètement refaite graphiquement et repensée pour le mobile.

Il s'agit d'un jeu libre, écrit en C++ et disponible sous les termes de la GPL 3 pour le code et CC by-sa 3 pour les ressources. D'un point de vue technique, c'est toujours le même moteur que nous utilisions à l'époque, c'est à dire le moteur de Plee the Bear.

Le principe du jeu consiste à parcourir des montagnes russes armé d'un pistolet à ventouse pour récolter des ballons parsemés sur le circuit. De nombreux obstacles peuvent ce mettre sur votre chemin, mais heureusement vous êtes armé d'un canon qui vous permettra de les dégommer en provoquant des réactions en chaîne impressionnantes. C'est un jeu qui demande de bons réflexes.

Illustration

Le jeu est disponible en beta pour Android. Cela signifie que vous ne pouvez l'installer que si vous connaissez ce lien ou si vous cherchez précisément son nom dans le Play Store.

Il y a encore pas mal de choses à faire avant de publier le jeu final. Je réfléchis notamment à l'ajout de bonus de vie/puissance pour faciliter certains niveaux, l'intégration de réseaux sociaux, la gestion de compte multi-appareils ou encore la disponibilité de vidéos récompensées.

Enfin, bien que je me concentre sur la version mobile, il est toujours possible de compiler une version desktop si vous êtes très très très motivés. Le projet se trouve sur GitHub.

Suivre le flux des commentaires

Note : les commentaires appartiennent à celles et ceux qui les ont postés. Nous n’en sommes pas responsables.